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A une époque qui va de l’après-guerre jusqu’à la fin des trente glorieuses, en France, les producteurs de musique confient la quasi-totalité de la production de la chanson, des variétés et des musiques de film à une poignée d’arrangeurs/compositeurs, Alain Goraguer fit partie de ce carré-là.
Cherchant parfois durement à gagner sa croûte et celle de sa famille, il va accepter systématiquement toutes les propositions de peur d’être immédiatement blacklisté par les grandes entreprises du disque que l’on ne nomme pas encore les majors.
Dans cette production foisonnante (c’est un euphémisme), Alain Goraguer fera des rencontres décisives et fabuleusement créatives avec les grands de la Chanson française, mais fera aussi feu de tout bois en acceptant un nombre hallucinant de travaux mineurs.
Pour ce qui concerne les belles rencontres de cette carrière à la longévité exceptionnelle, on citera - sans prétendre à l’exhaustivité - Boris Vian, Maurice Chevalier, Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Adamo, Henri Salvador, Boby Lapointe, Juliette Gréco, Sacha Distel, Serge Reggiani, Abd El Malik, excusez du peu…
Pour les « ménages » divers et variés qui font bouillir la marmite, on reconnaitra un morceau très entraînant commandé par l’entremise de sa femme et de sa fille par deux profs de fitness qui proposait alors une émission sportive d’un format nouveau et révolutionnaire le dimanche matin sur Antenne 2. Le morceau en question fait Toutou-you-tou ! Et 1 et 2 et 3 et 4 !
Cyrille