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Futur lointain (ou proche, qui sait ?), la civilisation a périclité au profit d’un monde dominé par les déchets et les ressources qui en découlent. Dans ce décor post-apocalyptique, une bande d’enfants appelés « Les mouches », survit en récupérant des objets dans une décharge géante afin de gagner de quoi manger.
Dans La communion, ce qui impressionne dès le début, c’est le travail de la photographie. Les plans sont d’une netteté intense qui renforce de sublimes clair-obscur. Ces derniers semblent tout au long du film appuyer l’ambivalence de Daniel, jeune délinquant qui se découvre une vocation spirituelle en centre de détention. Mais le crime qu’il a commis l’empêche d’accéder aux études de séminariste. A sa sortie de prison, il rejoint une petite ville pour y travailler dans un atelier de menuiserie, mais par un concours de circonstances, c’est la place du prêtre qu’il va prendre.
L’été est là et Estelle voit de nouveaux vacanciers particuliers arriver dans le gîte de montagne de sa mère. Accompagnée de son petit frère Aurélien, elle découvre un groupe d’handicapés moteur et Kévin, un vieux monsieur déficient mental.
Très vite, les deux enfants s’attachent à ce drôle de bonhomme en pantoufles qui traîne sa pipe éteinte et son ours en peluche. Ils partent en randonnée, font du cheval…
Illustrations magnifiques et format géant sont au rendez-vous dans cet album documentaire très original !
Quelques jours après l’annonce gouvernementale d’un confinement, en Mars dernier, une rubrique Chroniques du cinéma confiné est apparue sur le site des Fiches du cinéma.
Salamantina, dite Sam, est la fille du chef de la tribu. Dans sa tribu, on suit un certain nombre de règles afin de respecter la Tradition.
Les garçons doivent porter une plarmure, même si elle est trop grande pour eux, afin une fois adulte, de participer à la bagarre. Les filles doivent avoir toujours sur elle leur martotal, pour dégonfler les moumouths, étaler la pâte à parte, peigner les bloutons et surtout ranger le village.
Une entrée surprenante dans le monde des champignons, pour apprendre à les reconnaitre.
Certains ont le nom d’un animal, d’autres poussent sous certains arbres.
On apprend qu’il existe plus de 100 000 espèces de champignons (des microscopiques, des macroscopiques…) et ils qu’ils sont classés en 3 types : les mycorhiziens, les parasites et les saprophytes.
Le premier album d’Anne Zeum est véritablement psychédélique !
Guston le jardinier est le maître de son jardin et entend bien le rester. Alors quand il s’aperçoit que les limaces grignotent ses plantureuses salades, c’est la manière forte qu’il emploie. Intoxiquées, les limaces décèdent une à une… Mais ça ne s’arrête pas là, toute la chaîne alimentaire est touchée ! Les habitants du potager s’unissent alors pour faire tomber Guston.
Belette est une fillette de sept ans qui vit seule dans une étrange maison, hors du village, à l’orée du bois. Pourquoi seule ? C’est comme ça ! Un matin, partie à la recherche de champignons, elle tombe sur un gigantesque lapin (4725 cm !), inanimé et silencieux. Belette prévient tout le monde. Les adultes s’inquiètent de cette présence insolite, ses amis enfants non, ou tout de même un peu suite aux réactions des adultes. Belette, elle, n’a pas peur. Le temps passe.
Lillian Alling, russe, cherche désespérément un emploi dans le porno. C’est qu’il faut bien vivre à New-York. De refus en échec, Lillian désespère. Elle ne s’effondre pas, elle réagit en arborant son sac à dos.
Lillian est sur les routes, à pied, dans le but de rentrer dans sa Russie natale par le détroit de Bering. Le spectateur est dans les pas de la protagoniste, sa détermination, ses vols, sa débrouille, ses brèves rencontres. Nous traversons les paysages américains et canadiens, parmi lesquels Lillian s’adapte, se confond, résiste. Jusqu’où ira cette fuite ?